lundi 19 octobre 2009

gilad atzmon, l'antisémite juif

Gilad Atzmon, l’antisémite juif

Tu es la pathologie même de l’antisémite juif, un renégat qui a la haine de soi, et qui construit son avenir uniquement sur la haine des juifs et d’Israël.

J’ai toujours aimé le jazz, mais depuis que je sais que tu joues du Jazz à la façon antisémite, j’ai arrêté de l’écouter, et quand je l’écoute par inadvertance je pense à toi et j’ai envie de vomir.

Toute l’histoire du peuple juif est jonchée d’énergumènes de ton espèce, de malades qui n’ont jamais rien réussi dans leur vie, et afin d’atteindre une certaine forme de notoriété, ils l’ont construite sur des mensonges tout en accusant leurs frères de tous les maux de l’humanité, sachant qu’ils trouveront sans aucun problème des millions d’adeptes.

Tu es atteint du syndrome de Stockholm, tu as développé une empathie envers l’Islam religion criminelle basée sur le mensonge, la haine et le crime et qui prône une doctrine de suprématie islamique comme la doctrine de suprématie aryenne, qui prône l’élimination de tous ce qui n’est pas musulman. Continue à glorifier l’Islam, car une fois que le problème Israélien sera liquidé, ils s’occuperont de toi et des Juifs antisémites, comme l’ont fait les nazis.

On pourrait ainsi prouver que l’homme se donne un futur dès qu’il s’agit de réaliser ses petits intérêts personnels, même s’il lui faut exploiter les autres pour atteindre son but. La loi agit d’ailleurs dans le même sens : elle punit plus légèrement un crime impulsif, spontané, dû à une vive émotion, qu’un meurtre longuement prémédité. Le temps peut donc être considéré comme une circonstance aggravante.

La méchanceté est une mauvaise volonté qui s’exerce à titre purement gratuit, c’est une volonté de détruire autrui, même aux dépens de soi même. L’homme méchant en arrive à haïr autrui de manière désintéressée, pour le plaisir de haïr, sans qu’il y ait à ce comportement aucune explication héréditaire, ou psychanalytique, ou physiologique. Ce cas-limite, rare, semble la manifestation à l’état pur de la volonté de faire du mal. En ce sens, la haine pure apparaît comme le reflet négatif de l’amour : tous deux négligent l’ego pour s’abîmer dans autrui, l’un pour l’aimer jusqu’au paroxysme, l’autre pour le haïr et le détruire.

Prenons l’exemple du mensonge de l’homme qui fuit devant ses responsabilités : c’est un événement qui aurait pu ne jamais exister mais, une fois posé, il rend plus facile d’autres mensonges et fait de l’homme un menteur ; il « fabrique donc du destin ».

Dès lors, ce reniement du plaisir implique une ambiguïté, une ambivalence : la tendance au plaisir est contrecarrée par une contre-tendance. Le reniement exige qu’on se fasse violence à soi-même. Prenons l’exemple du renégat : il a abjuré sa première conviction religieuse, mais au fond de lui-même il y reste peut-être profondément attaché. Il veut étouffer cette prédilection secrète qu’il sent en lui, ce qui justifiera son attitude implacable envers ceux qui sont restés fidèles à la foi qu’il a renié. Renier, c’est aussi « nier » en dépit de l’absurde, c’est nier, avec une « merveilleuse mauvaise foi » le monde raisonnable des apparences.

L’un des héros du ghetto de Varsovie, Marek Edelman nous a quitté, et on a pu constater qu’il a été aussi touché par le syndrome de Stockholm, en restant dans le pays le plus antisémite de toute l’histoire juive qui a envoyé trois millions de juifs à la mort, tout en continuant à le glorifier et en détestant ses frères et Israël.

On a pu constater que les antisémites les plus virulents étaient souvent d’origine juive, tu as tronqué ton âme de juif contre celle d’un diable fasciste et nazi. Tous tes pamphlets et diatribes antisémites font la gloire des sites antisémites et négationnistes de droite comme de gauche, et présentés comme des trophées.

Paradoxalement tu te présentes comme humaniste, et tu te réjouis de la mort de tes frères de sang. Tu joues et tu danses sur les cadavres des juifs tout en espérant la disparition d’Israël c’est-à-dire la mort de tous les Juifs. Malgré tout cela, personne n’a essayé de t’éliminer physiquement, car tu représentes la peste et le choléra et cette haine de soi te rongera très bientôt.

Méfions nous de qui n’attache du prix à l’étranger que par dédain envers soi : l’aversion qu’il se porte, finira par rejaillir sur ses sympathies.

Une cause est juste tant qu’elle ne s’appuie pas sur l’injustice (Albert Camus).

Israël est ma fierté et cela me donne la flamme que tu n’auras jamais, tu es le juif de service, une fois son objectif atteint tu seras jeté aux oubliettes comme tes prédécesseurs.

AM ISRAËL HAÏ

Simon
lesavoirjuif@gmail.com www.lesavoirjuif.blogspot.com

1 commentaire:

  1. Comme d'hab le bon vieux chantage à l'antisémitisme contre les dénonciateurs des crimes du sionisme.

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