dimanche 6 septembre 2009

Eva la soi-disant d'origine juive

Eva la soi-disant d’origine juive !!!! www.r-sistons.over-blog.com

Suite à ton dernier mail, je me suis permis d’étudier, d’analyser et psychanalyser ton cas sous toutes les coutures, il faut avouer qu’il est désespéré. En évoquant à chaque occasion tes origines juives tu crois que cela t’autorise à vomir du juif sans état d’âme.

Tu es ce qu’on appelle une déconnectée de la réalité, tu as plusieurs complexes et chaqu’un prend des proportions fantasmagoriques et va puiser dans un autre complexe afin de lui donner un temps de répit et un semblant rassurant. Tu adoptes une posture lâche et fuyante, ce qui définit ton caractère, ta personnalité et tes fréquentations malsaines avec des fascistes tels que: Noam Chomsky, Jean Bricmont, Michel Collon, Silvia Cattori, Frédéric Delorca, Olivier Bonet, Ignacio Ramonet, Naomi Klein, Roni Brauman, Manuel de Diéguez, Stephane Hessel, Tariq Ramadan etc…, je me permets de t’en ajouter quelques uns : Bernadette Soubirou, De Gaulle, Om Kaltoum, Pie XII, Nasser, Hitler, Chavez, Ahmedinijad, Nasrallah, Williamson et la liste est longue, j’arrête là, si non il me faudrait au moins dix pages.

J’ai commencé par analyser certains de tes textes sur ton blog, à première vue tu es une grande manipulatrice sainte nitouche, tu essayes de te donner un air honnête qui n’existe pas ni dans ta tête ni dans ta pensée et encore moins dans tes actes, tu te lances des compliments pour passer pour une sainte, une humaniste prête à donner sa vie pour son prochain, faux-cul, à travers tes diatribes et celles des autres tu massacres les Juifs, Israël, les franc-maçons etc. de façon lâche et crapuleuse et surtout mensongère. Même les articles qui n’ont rien à voir avec Israël et les Juifs, tu trouves encore le moyen d’y glisser ça et là les Juifs et Israël.

Ta fixation hystérique et obsessionnelle du Nom « Juif » et du Nom « Israël » permet de dégager une première conclusion, ton corps et ton âme sont atteints du syndrome délirant, du syndrome dissociatif, et du syndrome de l’imposteur. Il y en a d’autres, mais de ceux là je suis sûr.
Avant toute analyse je me suis posé la question, si tu étais saine d’esprit et je suis arrivé à la conclusion qu’on devrait t’interner dans un asile psychiatrique le plus rapidement possible, mais je vais continuer mon analyse pour avoir bonne conscience !!

J’ai décidé de te suivre à travers ton site, où se mélange l’extrême droite, l’extrême gauche, le nazisme, le nazislamisme, pour seul but la haine d’Israël et des Juifs, et où se croisent les protocoles des sages de Sion, l’Antéchrist, et les crimes rituels etc...

La première constatation psychanalytique est que tes troubles débutent dès ton plus jeune âge par des harcèlement incestueux, d’où découlent tes troubles de sommeil et d’énurésie nocturne jusqu’à l’âge adulte. Un père colérique et autoritaire face à une mère schizophrène et effacée complètent l’hystérie dans une atmosphère paranoïaque, où se côtoyèrent la haine et la violence, ce qui bien entendu influencèrent ton développement psychologique et psychique.

Les angoisses de transgresser les interdits refoulés dans l’inconscient, t’ont permis de construire un monde clos narcissique où le « Moi » surplombe le « Toi » influençant tes facultés dans leur ensemble, relationnelle, émotionnelle et comportementale aggravée d’une hystérie de sublimation se traduisant par la sensation d’une boule ascendante et asphyxiante, qui finira par le développement de phobies obsessionnelles compulsives. Je peux dire que tu n’as pas été gâtée, et cela j’en suis conscient.

Les perceptions par les sens, l’expérience, le raisonnement déductif, et par l’intuition que l’être humain possède normalement, chez toi elles sont paralysées et ce depuis ton enfance, dû au traumatisme cité plus haut.

Le besoin et le manque d’amour dans ton enfance t’ont poussée à te marier jeune sans amour pour échapper au monde néfaste et paranoïaque où tu as grandi, ainsi commencera ton deuxième combat de dure solitude, de cruauté et de perversité, qui finiront par développer chez toi l’heuristique de la falsification. Touchée par l’Anatman le concept bouddhiste : il n’y a rien en ton âme de pur, aucune essence à trouver, mais une simple agrégation de phénomènes conditionnés.

Les faits et réalités historiques :
Le complot pervers anti-juif est en marche depuis 2500 ans, où tous les moyens ont été utilisés pour nous anéantir.
Dans les temps jadis, les pires ennemis d’Israël étaient des apostats. Ces juifs renégats, qui, par conviction ou intérêt, se convertissaient à l’Islam ou au Christianisme. Ils connaissaient leur ennemi, le juif, de l’intérieur, provoquant des dégâts considérables : meurtres, expulsions en masse ou tout simplement dénigrement de la religion juive. De nos jours ces apostats n’ont pas embrassé les religions constituées mais la gauche pro palestinienne. Défilants avec leurs copains enturbannés, hurlants mort aux juifs, mort à Israël. Leur haine envers leurs anciens coreligionnaires et envers Israël se manifeste par des articles au vitriol, variants les doses avec pour objectif de donner bonne conscience à ceux qui déjà vomissent Israël et les Juifs. Après lecture il les détesteront plus encore.

Nul peuple ne résisterait à une telle épreuve. Cette manie singulière de se dénigrer soi-même, d’étaler ses plaies, et comme d’aller chercher la honte, serait mortelle à la longue. Beaucoup, je le sais, maudissent ainsi le présent, pour hâter un meilleur avenir ; ils exagèrent les maux, pour nous faire jouir plus vite de la félicité que leurs théories nous préparent. Prenez garde, pourtant, prenez garde. Ce jeux-là est dangereux. L’Europe ne s’informe guère de toutes ces habiletés. Si nous disons méprisables, elle pourra bien nous croire. Jules Michelet, Le peuple.
Ceux qui avouent quelques inquiétudes sont vite classés parmi les infréquentables de la démocratie contemporaine, qui fait de l’ouverture à l’autre, de sa découverte, son catéchisme à respecter, à moins de consentir à la marginalisation idéologique, pour aller rejoindre des gens peu fréquentables catégorisés réactionnaires, pire encore, nouveaux réactionnaires.

On ne se surprendra pas alors que dans le monde universitaire, et celui des idées en général, l’antiaméricanisme soit devenu un lieu commun, et un prétexte politique pour élaborer des cadres explicatifs de la réalité occidentale qui semblent accabler jusqu’à la caricature, de tous les crimes, de tous les maux qui frappent le genre humain, la « puissance américaine ». Il y a en Occident une étrange haine de soi qui peut être considérée comme pathologique, mais il ne s’aime plus lui-même. Il ne voit plus désormais de sa propre histoire que ce qui est dépréciable ou destructeur et il n’est plus en mesure d’y percevoir ce qui est grand et pur.

La haine la plus longue est peut-être une haine sans fin. Etudier les passions judéophobes, c’est en découvrir le caractère répétitif et la force dévastatrice. Vouloir les contenir est raisonnable. Prétendre les éradiquer relève jusqu’à nouvel ordre de l’utopie. Il est préférable de vivre les yeux ouverts. Dans le nouveau discours judéophobe, « sioniste » et « Israël » fonctionnent comme les noms du Diable. Il ne s’agit plus de chasser les Juifs des pays Européens, mais d’éliminer cette « anomalie » qu’est l’Etat d’Israël, figure de la mauvaise « différence », pour en finir avec « le sionisme », incarnation du Mal.
Le populisme misérabilisme ambiant pousse à la puissance, sur la base d’un amalgame polémique : « puissance = injustice » (comme si les « faibles » étaient nécessairement « justes » !).
On constate un affaiblissement des lois internationales d’inspiration occidentale rendues inopérantes par les valeurs et les lois islamiques qui s’y substituent dans les organismes internationaux et qui instaurent un ordre mondial conforme à la charia et au djihad.
On connaît les faiblesses des démocraties pluralistes face à leurs ennemis les plus résolus, qu’elles refusent de reconnaître comme tels. La sous-estimation de l’ennemi est l’opium des sociétés démocratiques opulentes. Ces dernières rêvent de ne pas avoir d’ennemis, ou, à défaut, d’avoir des ennemis tolérables. Mais la tolérance n’est pas une politique, à fortiori au plan international. Ma crainte est qu’un esprit néo-munichois s’installe dans notre Europe vieillissante.

Revel remarque que l’idéologie est la « principale source de dérangement de l’information, parce qu’elle nécessite un mensonge systématique, global et non pas seulement occasionnel ». Le mot fut incorporé au vocabulaire socialiste par Marx et Engels avec une connotation non seulement critique mais péjorative pour désigner « l’ensemble des notions et des valeurs destinées à justifier la domination d’une classe sociale par une autre ».
Sur les restes de tout ou partie du manteau marxiste plus ou moins détérioré sont collés des bouts de multiculturalisme, de pseudo-humanisme, de compassionnisme, de droit-de-l’hommisme dont il a été question plus haut, invariablement d’anti-américanisme, accompagné de néo-tiers-mondisme : sympathie pour le « sud » en général et pour l’Islam en particulier.
Par conséquent, les journalistes seraient fondés à confondre « fonction d’opinion et fonction d’information », à refuser au public des informations exactes, et tout bonnement à donner l’image qui leur convient de la réalité.

Tous les dictateurs marginalisent tous ceux susceptibles à leurs yeux de coaguler les mécontentements, et mettent en place une Gestapo rouge ou verte. C’est là qu’intervient l’idéologie qui, comme l’écrit Revel, « ne relève en aucun cas de la distinction du vrai du faux. C’est un mélange indissociable d’observations de faits partiels, sélectionnés pour les besoins de la cause et de jugements de valeur passionnels, manifestation du fanatisme et non de la connaissance ». Convaincus de « la supériorité principielle du socialisme sur le capitalisme », des millions d’individus ont ainsi tranquillement défendu, au mépris du plus élémentaire bon sens, une théorie politique qui, dans la praxis si chère aux marxistes, s’est toujours avérée économiquement désastreuse, politiquement liberticide et meurtrière. Il n’est pas anodin de souligner que ces laudateurs se sont beaucoup plus souvent recrutés en démocratie que dans les pays où étaient mis en œuvre les principes qu’ils défendaient. Il n’est pas interdit non plus de rappeler que parmi eux, beaucoup d’intellectuels français se sont considérés, comme atteints d’une cécité volontaire qui en a conduit plus d’un jusqu’à l’indignité et au ridicule…Pour un Aron, pour un Camus, combien de petits Sartre ?.

Un jour sans doute, pas si lointain souhaitons-le, ce mythe s’effondrera tout à fait. Yeux enfin dessillés, les derniers zélateurs du Lider maximo conviendront du bout des lèvres que leur héros ne s’est pas montré à la hauteur des espérances qu’ils avaient placées en lui. Ils feront leur deuil du sanguinaire mais pas de l’utopie qu’avec d’autres despotes il a incarnée et au nom de laquelle il aura été versé tant de sang, infligé tant de souffrances…
Très momentanément embarrassés par l’incontestable déroute, matérielle et éthique, des idées qu’ils défendaient, nos donneurs de leçons, certains de leur supériorité morale, poursuivront leur chimère. Et si leur position devenait par trop intenable, on peut gager qu’ils reporteront sur d’autres mirages leur inextinguible soif de se tromper.

Le mécanisme de la pensée unique : L’opinion publique peut ainsi être faite de préférences publiques falsifiées qui ne correspondent pas aux préférences réelles des gens. C’est ainsi que Kuran explique par exemple la quasi-unanimité des dictatures où la pression coercitive est au maximum. Mais on voit que ce mécanisme s’applique aussi à la « pensée unique » développée dans les démocraties qui ne sont donc pas pour autant immunisées contre la falsification des pensées privées, suscitées par des pressions sociales et le souci de son image publique.
Mais il y a plus, car l’opinion publique participe aussi à la constitution des préférences publiques par les médias. En effet, les médias n’ont pas une orientation centrifuge purement dirigée vers le public ; ils reçoivent aussi une influence de l’opinion publique à laquelle ils s’adaptent aussi selon ses préférences. Les médias sont sensibles en effet à l’opinion publique à la fois pour des raisons tenant à leur image publique et à la réputation de ceux qui y travaillent ; mai aussi pour des raisons de captation du public, aussi bien de leur attention que de leur approbation. Il en va de leur audience et de leur part du marché ; mais il en va aussi de leur popularité et de leur prestige. Cela se manifeste notamment par leur souci de l’audimat, ainsi que par leur attention aux sondages d’opinion que ces médias sollicitent parfois. C’est ainsi que les médias peuvent s’aligner sur une opinion faite des préférences falsifiées. La persistance de la falsification des préférences conduit à des défauts de connaissance sur la substance des problèmes, et sur les préférences réelles d’autrui.

C’est ainsi que les gens peuvent se fier abusivement à des arguments disponibles dans le public, d’autant plus que ceux-ci sont répétés régulièrement et que leur enjeu concerne d’avantage le souci du ressentiment de son opinion affichée que le souci d’une réalité vécue personnellement.

Blâmer les autres ou bien les conditions extérieures, pour justifier sa mauvaise conduite est peut-être le privilège de l’enfant : quand un adulte nie sa responsabilité pour ces propres actions, voilà un pas de plus vers la désintégration de la personnalité.(Bruno Bettelheim).

Que signifie l’harmonie de la connaissance de la nature et de la connaissance morale, qui n’est pas une personne, qui ne vit ni n’existe, qui n’est pas non plus un esprit, mais une idée, « notre » idée, c’est-à-dire notre hypothèse au sens platonicien du terme.
Spinoza dont la pensée politique se fonde sur la vérité prétendument prouvée par l’expérience selon laquelle tant qu’il y aura des hommes, il y aura du vice, et qui tient donc pour acquis que l’Etat est nécessairement répressif ou coercitif. La distinction kantienne entre la moralité et la légalité, il nie que la force soit le principe de la loi : la contrainte ne signifie pas autre chose que la loi et n’a donc pas besoin d’être mentionnée. Il est aussi mal à l’aise à propos de la coercition qu’il l’est à propos du pouvoir : l’Etat est la loi, car l’Etat est essentiellement rationnel, et la force commence là où finit la raison.

On pourrait entendre la religion juive en tant que religion révélée. En ce cas, le philosophe accepterait la révélation comme elle fut acceptée par les Juifs tout au long des âges dans une tradition ininterrompue, et il s’y soumettrait ; il l’expliquerait au moyen de la philosophie et la défendrait tout spécialement contre les négateurs ou les septiques, philosophes ou non philosophes. La Révélation est la création de la raison (par Dieu).
Admettons donc que le judaïsme soit la religion de la raison. Cohen disait que le judaïsme est « Le monothéisme pur ».

Le judaïsme est la source, la fontaine d’où jaillit la religion de la raison. Les Juifs « ont créé la religion de la raison ». Le judaïsme a enseigné à l’humanité la religion de la raison. Les autres religions sont, ou bien tout à fait insuffisantes, ou bien dérivées du judaïsme. Il est vrai que le judaïsme ne fut pas toujours à tous les points de vue la religion de la raison. Il a eu besoin de l’aide de la philosophie platonicienne et surtout de la philosophie kantienne pour se libérer complètement de certaines incohérences, mythiques ou autres. Mais cette aide a simplement permis au judaïsme de développer pleinement ce qu’il était depuis le début et ce qu’il fut fondamentalement en tous les temps.

La relation entre la religion et la philosophie, entre la religion de la raison et le Système de philosophie, se complique du fait que la partie centrale du Système, l’Ethique de la pure volonté contient, et en un sens, atteint son point culminant dans les doctrines qui à première vue semblent appartenir à la religion de la raison : la doctrine du Dieu unique et celle de l’avenir messianique. C’est la raison qui montre pourquoi et comment la religion doit dépasser l’éthique, la religion « entre dans le système de la philosophie ». Ainsi, la Religion de la Raison devrait être entendue comme le couronnement du Système de philosophie.
Cohen suggère que la Religion de la Raison dépasse les frontières du Système de philosophie, ou de n’importe quel système de philosophie.

Comme tous les antisémites malades, tu as la méthode et la connaissance de la stratégie ainsi que la tactique fasciste, tu ne hais pas les Juifs, tu es antisioniste obsessionnelle, il n’y a qu’un problème dans le monde il est unique et c’est >Israël et les Juifs. D’ailleurs tu as les amis que tu mérites, ne dit-on pas dis moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es !!!
Je pourrais te conseiller une thérapie, mais sincèrement je préfère que tu restes là où tu te trouves, car tu souffres d’avantage par ta haine du peuple Juif et tu vas souffrir encore plus chaque fois qu’un Juif se met en valeur, et surtout toutes les avancées Israéliennes et cela dans tous les domaines, ne t’en déplaise Israël est la Silicone Valley de l’humanité. Je ne manquerai pas de t’envoyer les bonnes nouvelles d’Israël, et pendant que je boirai du champagne, toi tu boiras du sang Juif.

Tes mails parlent de Jésus, de paix, d’humanisme, d’amour, mais en réalité ton site n’est que haine, je ne serais pas surpris que parmi tes lecteurs se trouve un futur tueur d’un autre Ilan Halimi.

N’oublies pas qu’un jour ta vie s’arrêtera et tu partiras avec un cœur noir et rongé par ta haine du peuple Juif et d’Israël, mais ce sera trop tard et tu iras en enfer rejoindre tous les ennemis du peuple juif.

AM ISRAËL HAÏ
Simon
lesavoirjuif@gmail.com www.lesavoirjuif.blogspot.com

1 commentaire:

  1. dans cet article, vous orthographiez BONET avec 1 seul N, ce qui a choqué une personne de ma famille qui découvrant en lien votre site en tapant mon nom Olivier BONET me découvre insulté et surtout rapproché de personnes douteuses. Je suis d'origne Espagnol/pied noir d'Algérie et j'ai été élevé dans la double culture juive/catholique. Il me semble n'avoir jamais insulté les miens, en outre je vous demande de bien vouloir corriger cette erreur afin que ce préjudice soit réglé. Bien à vous, Olivier BONET.

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